Cette fois-ci, google espère que cela sera la bonne, même si face aux 700 millions de membres de Facebook la mission semble impossible. Google essaye de tirer des leçons des échecs de Buzz et Wave, et part à l’assaut de la forteresse sociale sous l’impulsion de son co-fondateur Larry Page.
Des fonctionnalités originales
Le “social” n’est pas dans les gènes de Google, Eric Schmidt l’a lui-même reconnu. De fait, Google+ est très proche des standards du marché, avec ses groupes, ses photos de profils et un “fil d’actualités” dans la colonne centrale.
Mais des innovations émaillent le produit : la première d’entre-elles concerne les contacts qui sont regroupés dans des “cercles” d’amis très graphiques afin de faciliter en un coup d’oeil le partage de contenus en fonction de ses communautés (amis, famille, collègues…). A chaque fois que l’on rajoute un contact, il est obligatoire de l’inclure à minima dans un cercle (qui correspond aux listes sous Facebook). Il est ensuite très facile, en passant la souris dessus, de savoir qui est membre, de le bouger d’un groupe à un autre en “drag and drop”, de le supprimer… D’ailleurs, quand vous supprimez un cercle, celui-ci “roule” en dehors de l’interface pour signifier sa disparition : très efficace.
Cette représentation graphique et métaphorique du réseau a souvent été vu dans de nombreux concepts de réseaux sociaux, sans être implémentée car nécessitant notamment des plug-in flash. Ici, selon la tradition Google, c’est du full HTML/javascript de type webapp, accessible depuis n’importe quel navigateur bien concçu (Firefox, Safari, Chrome, Opéra).
Avous de voir...
Sources : synchro-blogue & Damien Douani
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Sources : synchro-blogue & Damien Douani